Signe graphique imposé par l’usage et qui figure une grandeur, un nombre, une opération, une relation, un être mathématique ou logique de nature quelconque.
- Il arrive qu’un symbole présente une figuration qui rappelle l’objet qu’il symbolise, comme le symbole de la mesure d’angle (\(∠\)). Mais cela se produit rarement.
- Les symboles mathématiques sont généralement des graphies qui ont été imposées par l’usage au fil des années et même des siècles.
Exemples
Certains symboles sont littéraux; ce sont des lettres qui représentent ou correspondent à une valeur, à une grandeur ou à une opération qu’elle désigne :
- les lettres dans des unités de mesure, comme m ou cm;
- les inconnues, comme la lettre x dans l’équation « x + 7 = 12 »;
- des nombres quelconques, comme a et b dans la relation « a + b = b + a ».
Certains symboles sont numériques :
- les chiffres romains, soit I, V, X, L, C, D, M;
- les dix chiffres arabes, soit 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9.
Certains symboles sont agrégatifs :
- les accolades, soit { et };
- les crochets, soit [ et ];
- les parenthèses, soit ( et ).
Certains symboles sont des graphies qui rappellent les concepts à qui elles sont associées :
- le symbole de la relation de perpendicularité, soit ⊥;
- le symbole de la relation de parallélisme, soit //;
- le symbole qui identifie un angle, soit \(∠\);
- le symbole de la relation d’égalité approximative, soit ≈.